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Est ce ainsi que les Hommes (et les chevaux) vivent ? (1ère partie) Les chevaux des mines (14).

D 23 août 2013     H 12:20     A Traitgenevois     C 0 messages


L’environnement dans la mine.

La mine est un milieu hostile pour les humains et les chevaux. Les conditions qui y règnent y rendent la vie difficile et dangereuse.

S’il est juste d’estimer que la vie des chevaux dans les mines n’était pas un sort enviable, il ne faudrait surtout pas ignorer les conditions de travail parfois terribles que les hommes eurent à supporter.

Ce petit article ne prétend pas faire le tour du sujet mais juste de présenter quelques aspects de cette vie et de ce travail à plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de mètre sous la surface du sol.

Le charbon était encore largement employé dans les ménages français au milieu du 20ème siècle. C’est lui qui procurait le chauffage de l’habitat et qui alimentait la cuisinière avec laquelle était cuite la nourriture familiale.
C’est pourquoi, enfants, nous voyions les mineurs comme des sortes de surhommes qui arrachaient le précieux combustible des profondeurs de la Terre. Chez nous qui étions si loin des grandes régions minières, le mineur était considéré avec respect, son travail vu comme titanesque, ses luttes encouragées.

Les conditions de travail ont considérablement varié selon les époques, les compagnies minières et les lieux d’implantation des exploitations.
Les conditions de travail entre le début de l’exploitation minière et la mécanisation poussée des dernières années ne débouchaient ni sur les mêmes salaires, ni sur les mêmes règles de sécurité, ni sur les mêmes équipements.

La mine est un milieu de ténèbres, au mieux un éclairage parcimonieux éclaire les galeries.

Les lampes qui permettent aux mineurs d’y voir chichement seront longtemps une source de catastrophes. Ces lampes évolueront de la lampe à flamme nue jusqu’aux lampes électriques des derniers temps.
Photo : Agrillo Mario.
Dans de nombreuses mines le problème des infiltrations d’eau se posera avec beaucoup d’acuité. Un pompage sera nécessaire pour éliminer l’eau mais l’atmosphère n’en restera pas pour autant moins humide.
Photo : Steiner, Egon

La chaleur est un autre facteur à prendre en compte. Elle contraindra souvent les mineurs à travailler torse nu ou en sous-vêtement. Les mineurs travaillent parfois dans une chaleur de 35° à 40°. Elle les oblige à s’hydrater de manière importante.

La poussière dégagée par l’extraction du minerai sera une redoutable source de maladies, de difficultés diverses pour le travail, d’usure du matériel. Cette poussière qui ira grandissante avec la mécanisation est responsable de la silicose. Des mesures seront prises par les exploitants pour limiter les effets de ces poussières. Des masques seront proposés aux mineurs (peu portés parce que s’encrassant vite) et même aux chevaux. Les mesures les plus efficaces semblent avoir été une bonne ventilation, une aspiration localisée et l’humidification (qui entraîne aussi des problèmes).

La silicose ne sera indemnisée qu’à partir de l’ordonnance du 2 août 1945.

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Le pénitent était un homme chargé de faire détonner le grisou la nuit pour débarrasser la mine de ce gaz. Il ne revenait pas toujours de sa mission. Utilisée à Rive-de-Gier, cette pratique fut interdite en 1825,et de nouveau en 1834 et encore en 1835 et 1836 après de nombreux accidents. La vie souterraine. Louis Simonin.
 

Un sol instable, les éboulements, les soulèvements de terrain, les gaz toxiques, dont le redoutable grisou évoqué plus haut, achèveront de rendre la mine dangereuse pour ceux qui y travaillent, hommes ou bêtes.

Si vous ajoutez à cela un bruit qui ira crescendo jusqu’à devenir assourdissant avec l’arrivées de machines d’exploitation (marteaux-piqueurs, haveuses, tapis transporteurs etc...), sans oublier les rendements à atteindre , vous pourrez commencer à vaguement vous faire une idée de ce qui attend le mineur qui gagne le fond et les chevaux qui vont travailler avec lui.

 

Les conditions de travail.

Les débuts dans les mines furent particulièrement durs pour ceux qui y travaillaient.

 En 1837, Cyprien-Prosper Brard dénonce le travail qui est imposé aux hommes et souvent aux enfants pour transporter le minerai.
 
La vie souterraine. Louis Simonin.
"Le transport à dos d’homme a quelque chose de dégradant et de pénible à voir pour l’espèce humaine. ; c’est un triste spectacle que de voir des hommes absolument nus marchant à quatre pattes sur des degrés couverts de boue et portant sur leur échine d’énormes paniers ou de grands sacs de charbon à la manière des bêtes de somme. Qui n’éprouverait pas un sentiment de pitié en voyant ces jeunes enfants tout nus monter sur leurs têtes ou sur leurs dos dans les mines de lignite des Bouches-du-Rhône des couffes ou de gros morceaux de combustible" (1)
Femme poussant un wagonnet en Belgique.© Collection Yves Paquette.

Les femmes travailleront au fond jusqu’à la loi de 1874. En 1900 leur travail est limité à 10 heures.
Elles seront employées en surface au triage et au lavage.
En 1880 elles sont 152 à travailler à La Machine. Une trieuse gagne 1.79f par jour en 1888, soit un peu moins que deux fois qu’un piqueur..
Les garçons travaillent au fond à partir de 10 ans selon le décret de 1803. En fait ce décret ne sera pas respecté et les garçons de 7,8 ans continueront de travailler à la mine.

L’année 1875 voit les enfants travailler à hauteur de 17% de l’effectif à la Compagnie d’Aniche.
En 1884 les enfants représentent 9,36% des effectifs de mineurs.
10 ans plus tard, en 1894, les enfants seront 10,37% à travailler à la mine avec des pics selon les compagnies. A Courrières, en 1890, 560 enfants travaillent à la compagnie soit 15% de l’effectif total.

La loi de 1905 fixe l’âge d’embauche à 13 ans et tous les travaux du fond, à l’exception de l’abattage, sont autorisés.

En 1930 15900 enfants de 13 à 16 ans seront employés au fond et 6400 au jour.
Après 1945 l’âge pour travailler au jour sera porté à 14 ans.(2)

A mesure que se développeront les compagnies minières, ce seront de vraies dynasties de mineurs qui se succéderont dans la mine. Le fils descendra après le père et le petit fils à la suite. Les plus jeunes et les plus anciens se retrouveront peut-être alors "méneu d’quévau" au roulage.
 

La descente des hommes dans les puits est problématique. Les mines sont équipées d’échelles par lesquelles les hommes gagnent leur lieu de travail.
 
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La vie souterraine. Louis Simonin.
Parfois,dans les débuts de l’exploitation industrielle, ils descendront accrochés à des cordes, quasiment à l’aveugle.
 
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La vie souterraine. Louis Simonin.
Ou bien ils utilisent les cuffats. Les mineurs profitent de la descente pour inspecter les parois du puits. Une planche au dessus d’eux les protège des chutes de pierres. Le moment le plus dangereux est le croisement des cuffats. Quand l’un descend l’autre monte. Le puits est élargi à cet endroit, mais il pouvait arriver que les cuffats se heurtent précipitant les occupants dans le gouffre.
 
Plans du système de parachute uitlisé à La Machine. Musée de La Machine.
L’utilisation des cages munies de parachutes sera une réelle amélioration.
Ces cages circulaient à la vitesse de 12 mètres/secondes lors du transport des mineurs.
 

Les conditions de travail ont de graves répercussions sur la vie des mineurs.
Voici ce qu’en dit en 1835 le docteur Valat, ancien médecin des mines de Decize :
Ainsi sur nos 500 ouvriers je ne trouve pas un seul septuagénaire. A peine pouvons nous compter trois sexagénaires et en encore ceux ci se sont ils retirés des travaux depuis plus de dix ans ; car à 50 ans un mineur est déjà fort vieux si bien que parmi tous nos travailleurs de l’intérieur il n’y en a peut être pas un seul qui ait atteint cet âge là. La durée ordinaire de la vie du mineur est donc quarante ans environ. A quarante et quelques années le mineur n’est plus propre au labeur de la mine (3).
Dans le bassin des Cévennes, un ouvrier sur quatre mourrait avant 35 ans dans les années 1900 (Mineurs des Cévennes. Fabrice Sugier 1993). A peine un mineur sur deux atteignait l’âge de la retraite.
En 1914, une enquête menée dans les mines cévenoles fait apparaître que 65% des mineurs décèdent avant 55 ans.
Bien entendu ces conditions évolueront vers le mieux au fil du temps. Non sans luttes et conflits et sans toutefois réussir à éliminer certaines injustices liées aux conditions de travail ; les mineurs auront souvent du mal à faire reconnaître certaines affections comme maladies professionnelles.
Selon une estimation de la revue Populations et sociétés, ce sont au bas mot 40 000 décès que l’on peut imputer à la silicose de 1946 à 1987 (voir le document en annexe).

Les accidents.

Les accidents et catastrophes y sont nombreux. Trop nombreux.

© Collection Yves Paquette.

De 1865 à 1890 dans le bassin de la Loire 130 accidents graves se sont produits. Sur un effectif de 16 à 17000 mineurs,1928 ont perdus la vie et plus de 2000 ont été blessés.

Le 3 juillet 1889, un coup de poussières détruit des kilomètres de galerie au puits Verpilleux (Loire) et cause la mort de 200 mineurs.

 Le Petit journal- La catastrophe de Courrières.
© Collection Yves Paquette.

Mais le pire restait à venir. Le 10 mars 1906, un coup de grisou suivi d’un coup de poussier ravage 110 kilomètres de galeries à Courrières (Nord). La catastrophe fait officiellement 1099 morts.Parmi les victimes 37 ont 14 ans, 45 sont âgées de 15 ans et 57 de 16 ans.(2)

Trois jours plus tard la compagnie décide de stopper la recherche de survivants. Certains témoignages tendent à accréditer la thèse d’un abandon précoce des recherches afin de préserver le gisement. Trois semaines plus tard des survivants réussiront à gagner le jour par leurs propres moyens démentant ainsi la thèse officielle de secours rendus inutiles faute de survivants.

Le 30 juin 1928, au puits Combes de Roche-la-Molière, un accident entraîne la mort de 48 mineurs.

Plus près de nous et en Belgique, la catastrophe de Marcinelle, le 8 août 1956, fera 262 victimes sur les 274 mineurs présents dans la mine ce jour là.

Entre 1879 et 1967 ce sont 1057 mineurs qui ont trouvé la mort dans les mines Cévenoles. (4)

Les statistiques de l’Industrie Minière montrent en moyenne, entre 1910 et 1930, que 7 % des mineurs d’une houillère étaient atteints chaque année d’une incapacité permanente et 25% subissaient un incapacité temporaire de moins de 20 jours. Un mineur risquait d’avoir un accident grave tous les 3 ans.(5)
Encore convient-il de regarder ces chiffres avec beaucoup de précautions.
La nombre de victimes raportée à 1000 ouvriers ira fort heureusement en diminuant au fil des ans. Mais il faut tout de même observer des pics et des paliers selon les époques.
Les critéres d’enregistrements varient d’une époque à l’autre. Les accidents individuels ne sont pas toujours pris en compte et ils sont nombreux.
Il faut aussi parler des blessés. Là encore il n’est pas facile d’y voir clair, les déclarations faites par les mines se basant sur des critères variables.
Voir à ce sujet l’ouvrage " Les transformations d’une mesure. La statistique des accidents dans les mines de charbon en France, 1833-1988"
Les progrès sur le matériel (par exemple sur les lampes individuelles) et sur les règles de sécurité réduiront heureusement la fréquence des accidents.

Lors de ces catastrophes le sauvetage des chevaux sera le plus souvent impossible. D’abord il faut sauver les hommes, ensuite il est techniquement quasi impossible de porter secours aux équidés blessés ou bloqués dans la mine suite à un accident. Les mineurs surpris par des éboulements sont souvent évacués par des trous d’homme qui ne permettent bien sûr pas le passage des équidés. Bien peu de chevaux survivront lors de telles tragédies. Ainsi à Courrières, près d’un mois après l’accident, un dernier mineur survivant et trois chevaux feront leur réapparition à la surface.

 "Le 28 avril 1866, lors de l’effondrement du puits 2 de Marles, sous l’effet de la pression des eaux, les hommes sont évacués mais pas les chevaux. 27 sont restés au fond ensevelis." (6)

En 1879, à la veille de Noël au fond du puits Dolomieu, un incendie se déclarait dans une écurie : en plus des 13 mineurs et 6 sauveteurs morts, il y eut 18 chevaux qui succombèrent. (7)

Les chevaux ne figurent que rarement au bilan officiel des accidents graves et il est souvent impossible de dresser un inventaire des pertes dans ces cas là.
Les ingénieurs eux connaissent le nombre d’animaux disparus. Il va leur falloir reconstituer ou compléter la force de travail manquante indispensable au bon fonctionnement de la mine.

La main d’oeuvre, les salaires.

L’origine de la main d’œuvre va évoluer selon les époques. Au début de l’industrialisation des mines ce sont surtout les paysans qui vont fournir le gros du contingent.
En raison de la première guerre mondiale, les autorités Françaises ont recours à la main d’œuvre étrangère. C’est ainsi que 38 000 Chinois gagneront la France.

Aux mines de La Machine 310 travailleurs Chinois participeront à l’extraction du charbon entre 1917 et 1935. A partir de 1919 les travailleurs Polonais viendront grossir les rangs des mineurs employés aux travaux les plus durs. Se joindront à eux des Yougoslaves, des Tchécoslovaques, des Nord-Africains... (8)

 

Avant le deuxième conflit mondial, la grande majorité de la main d’oeuvre des mines des Alpes est d’origine locale. Les italiens, du fait de la proximité de leur pays représentent la majorité des mineurs étrangers.

 

En 1938 les mines françaises recrutent de la main d’œuvre d’origine étrangère à hauteur de 37% de l’effectif minier.

 

Les salaires sont assez disparates selon les mines. Ils peuvent sembler relativement bons dans certaines compagnies si on les compare à ceux pratiqués dans l’industrie. Cependant il ne faut pas perdre de vue que le métier est dangereux à bien des points de vue et que la politique paternaliste pratiquée par les compagnies minières ne laisse que peu de liberté aux mineurs.
Si souvent ils bénéficient de logements, du chauffage gratuit et autres "avantages" ceux-ci leur seront retirés dès qu’il quitteront la mine, volontairement ou pas. Il faut avoir ces faits à l’esprit lorsque l’on compare les salaires.
Le système de paiement est assez compliqué et différent selon les postes. Il peut être fixe à la journée pour les ouvriers du jour ou variable pour les ouvriers du fond, en fonction du volume de charbon extrait.
Le paiement se fait à l’équipe qui travaille sur la taille. Mais beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte et le système variera selon les époques et les compagnies. Il faut savoir,par exemple, que pendant longtemps le boisage ne fut pas payé aux mineurs. Seul comptait le charbon extrait. Cet état de fait entrainait un travail de soutènement peu soigné cause de nombreux accidents.

 

En 1841, à Rive-de-Gier, un piqueur, qui est payé au nombre de bennes, gagne journellement environ 3F.
Par jour les autres professions gagnent :
1F50 pour un toucheur (le meneur de chevaux).
2F50 pour un palefrenier.
2F75 pour un forgeron.
2F75 pour un charpentier.(9)
A la même époque, un forgeron Parisien gagne 5f par jour et un charpentier à peu près autant.(9)

 

Salaires à La Machine où les mineurs sont assez mal payés.
Piqueurs : 1906 : 4.56F- 1911 : 5.59F.
Grands rouleurs : 1906 : 3.32F- 1911 : 3.70F.
Petits rouleurs : 1906 : 2.76F- 1911 : 2.58F.
Eclaireurs : 1906 : 2.30F- 1911:1.90F.
Boiseurs : 1906 : 4.23F- 1911 : 4.73F.
Trieuses : 1906 : 2.05F- 1911 : 2.20F. (8)

 

En 1913 le salaire journalier moyen des mineurs de fond en France est de 5,96f ;
Il passera à 25,94f en 1925 pour atteindre 40f en 1930.
La crise économique de 1930 influencera négativement les salaires des mineurs et le salaire moyen retombera 35,45f en 1935.(11)
Et ce ne sont là que quelques aspects, relatés brièvement, du travail dans la mine et de la vie des mineurs.

Alfred Roll (1848-1919). La grève des mineurs. Musée de Valenciennes..© Collection Yves Paquette.
Il faudrait encore parler des gréves, des conquètes sociales, du paternalisme, des licenciements, des machines toutes lourdes et dangereuses, du logement, de la solidarité, des associations sportives ou culturelles créées par les mineurs, de la sainte Barbe, des syndicats, de l’habitat etc...

.

Les conditions de travail auxquelles seront confrontés les hommes auront de profondes répercussions sur la vie des chevaux au fond des galeries. C’est ce que nous essayerons de voir dans l’article suivant

A suivre.

(1) Eléments pratiques d’exploitation- Cyprien-Prosper Brard-ruxelles1837

(2) Roland Stievenard. La vie et le travail des enfants et des adolescents dans les mines.Cercle historique du val de Scarpe. Avril 2007.

(3) Encyclographie des sciences médicales, Volumes 32 à 34 Bruxelles Avril 1835.

(4) Balade en sol mineur : les mines du bassin houiller d’Alès
Par Hubert Rivelaine ; Le plein des sens.
(5) Musée de La Machine ;.
(6) Site internet APPHIM Mineurs de fond.
(7) Amiproche : Les amis du patrimoine de Roche la molière.

(8) L’histoire de la mine de La Machine-Mémoire de la mine-Etudes et documents N°11-2008-Conseil général de la Nièvre.

(9) Alphonse Meugy-Historique des mines de Rive-de-Gier. Carillan-Goeury et Veuve Dalmont. Paris 1848.

(10) Les salaires au XIX siècle. par Emile Chevalier.->http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k863346/f1.image.r=chevallier%20salaires.langFR] Librairie nouvelle de droit et de jurisprudence. Arthur Rousseau éditeur. Paris. 1887.

(11) Centre Historique Minier/Lewarde. D’après "Le salaires des ouvriers des Mines de charbon en France depuis 1900". Maurice Borgeaud.Paris.Presses Universitaires de France.
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